O toi qui fus fondée Sur l'immortalité, Par Dieu même gardée, Glorieuse cité, Ma voix, mon cœur palpitent D'espérance et d'effroi... Heureux ceux qui t'habitent, Demeure du grand Roi ! Oui, quand je te contemple, O céleste séjour, Toi dont Christ est le temple, Toi dont Christ est le jour, L'espoir, l'espoir m'anime ; Déjà mes sens ravis Goûtent la paix sublime Au sein de tes parvis. Parfois aussi la crainte Vient obscurcir ma foi. N'es-tu pas, cité sainte, Trop sainte, hélas, pour moi ?... Alors, sous tes portiques, Vibrant jusqu'à mon cœur, J'entends de doux cantiques Louer le Christ vainqueur ! C'est la noble cohorte Des martyrs de l'Agneau : Leur voix est toujours forte, Leur chant, toujours nouveau. Plus de pleurs, plus de trace Des maux dont nous souffrons : Seul, le sceau de la grâce Rayonne sur leurs fronts ! Séjour où Dieu m'invite, Je ne sais pas encor Quelle splendeur s'abrite Dans tes murailles d'or : J'ignore, mais j'espère. J'ignore, mais je sais Que là-haut est mon Père, Et pour moi, c'est assez !Reb Hudaýym aramyzda Başaryjy يا من بحضوره Hrdinovia viery فوق الصليب آه يا حبيب Dialogo Авраам при смерти был Atyám, két kezedben Агуу их хүчит On sydän hellä ạ̉nạ hw
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