Des pays de l'aurore Aux plaines du couchant, Partout où l'homme adore S'élève un cri touchant ; C'est la clameur immense Des peuples à genoux : « N'est-il pas de clémence, Point de grâce pour nous ? » En vain dans sa détresse, L'homme, sous tous les cieux, Fait et détruit sans cesse Des temples pour ses dieux ; Toute prière est vaine ; Tous ces dieux sont mortels, Et tu meurs, foule humaine, Au pied de tes autels ! O vous à qui le Père Par Christ s'est révélé, Pour qui, sur le Calvaire L'Agneau fut immolé ; C'est vous, c'est vous qu'appelle Le cri des malheureux, Car la bonne Nouvelle, Elle est aussi pour eux ! A toute âme flétrie, A tout cœur désolé, Parlez de la patrie Dont il est exilé ! Dites-leur : « Crois, espère ! » Et, leur prenant la main, Conduisez-les au Père Par Christ, le seul chemin !lmạ dʿạny̱ rby Hayranlıkla Severim Seni త్రాహి మాం క్రీస్తు నాధ lmạ ḍʿft wṣrt kỷyb ماداقتاڭدار بالالار، قۇدايدى Джанъм ЬОвер ạlmsyḥ qạm mn ạlạ̉mwạt De kommer fra øst og vest Det Blod som Jesus gav for meg Өмнө зүг хойд зүг
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