Le ciel était voilé, La route était obscure ; Voyageur désolé, J'errais à l'aventure. Chaque arbre du chemin Etait une menace, Et je cherchais en vain La porte de la grâce, La porte de la grâce. Enfin, las et transi, Je tombai sur la route En disant : « C'est ici Que je mourrai, sans doute ! » Quand un rayon des cieux, Pour moi perçant l'espace, Vint montrer à mes yeux La porte de la grâce, La porte de la grâce. Mais je doutais encor : Se peut-il, ô merveille, Que seule, quand tout dort, La grâce toujours veille ? « Pitié ! je vais mourir ! » Murmurai-je à voix basse. Et je la vis s'ouvrir La porte de la grâce, La porte de la grâce. Et je vis, sur le seuil, Debout dans la lumière, Jésus ! Quel doux accueil Il fit à ma misère ! « Je t'attendais ; pourquoi, » Dit-il, « pauvre âme lasse, Viens-tu si tard ? C'est moi. C'est moi qui suis la grâce, C'est moi qui suis la grâce ! »ạ̉lạ tʿwd تعليق 1 ạ̹lhy ạlhy kn qạỷdy Táńirge án sal Svatý svatý, Beránek náš Ek sien 'n nuwe hemel kom yé sū chì zé fēng hé hǎi Сен менинг ҳаёт ноним Муқтожман Сенга Капысынан эмесмин
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